Réunion du 9 juin 2011 :
Etaient présents, entre autres, des représentants de la commune de Boulc où nous souhaitions faire aboutir le projet de zone blanche avec l'accord d'une grande partie de la population, des élus du Conseil Général de la Drôme, et, bien sûr, des représentants de l'association.
Les conditions minimum pour qu'une discussion sereine puisse avoir lieu n'étaient pas réunies. Nous avons constaté un certain nombre de choses dont l'une était inacceptable. Différentes personnes autour de la table utilisaient des téléphones mobiles, ce qui ne permettait pas aux personnes EHS membres de l'association d'être en pleine possession de leurs capacités d'expression et de réflexion et induisait de surcroît chez elles de la souffrance. Ne pas tenir compte de notre handicap au cours d'une telle réunion montre clairement le peu de compréhension et la non-considération de notre problématique de santé.
Par ailleurs, le nombre de participants était trop important côté institutions, avec un déséquilibre flagrant en termes de représentation des différentes parties en présence.
Enfin, nous avons été confrontés à de l'agressivité, des menaces et des accusations calomnieuses.
A travers ces multiples signes d'hostilités et le refus de la municipalité de Boulc d'envisager la faisabilité de notre projet, nous ne pouvons qu'acter l'impossibilité de créer une zone blanche dans cette vallée.
Nous demandons au Conseil Général de la Drôme ainsi qu'au Ministère de la Santé de prévoir très rapidement une nouvelle séance de travail afin d'étudier ensemble d'autres possibilités.
Deux ans après le Grenelle des ondes, un an après l'occupation de la forêt de Saoû, à l'heure où les clignotants s 'allument un peu partout (OMS, Conseil de l'Europe...), il est plus qu'urgent de faire avancer le projet de création en Drôme d'une zone blanche officielle.
Sans une réelle volonté politique d'imposer cette demande comme prioritaire auprès de municipalités et des opérateurs, il nous sera impossible avec nos seuls forces d'envisager de créer une zone blanche autrement qu'en la prenant. S'il le faut, c'est ce que nous ferons, car nous sommes sincèrement déterminés à vivre.
Par ailleurs, le nombre de participants était trop important côté institutions, avec un déséquilibre flagrant en termes de représentation des différentes parties en présence.
Enfin, nous avons été confrontés à de l'agressivité, des menaces et des accusations calomnieuses.
A travers ces multiples signes d'hostilités et le refus de la municipalité de Boulc d'envisager la faisabilité de notre projet, nous ne pouvons qu'acter l'impossibilité de créer une zone blanche dans cette vallée.
Nous demandons au Conseil Général de la Drôme ainsi qu'au Ministère de la Santé de prévoir très rapidement une nouvelle séance de travail afin d'étudier ensemble d'autres possibilités.
Deux ans après le Grenelle des ondes, un an après l'occupation de la forêt de Saoû, à l'heure où les clignotants s 'allument un peu partout (OMS, Conseil de l'Europe...), il est plus qu'urgent de faire avancer le projet de création en Drôme d'une zone blanche officielle.
Sans une réelle volonté politique d'imposer cette demande comme prioritaire auprès de municipalités et des opérateurs, il nous sera impossible avec nos seuls forces d'envisager de créer une zone blanche autrement qu'en la prenant. S'il le faut, c'est ce que nous ferons, car nous sommes sincèrement déterminés à vivre.