Communiqué de presse du 15 octobre 2013
ANSES: le droit de Tuer. Toujours plus d'électrohypersensibles mais le doute plane encore !
Dans son communiqué de presse du 15 octobre 2013, par deux fois l'ANSES écrit «cette actualisation ne met pas en évidence d'effet sanitaire avéré et ne conduit pas à proposer de nouvelles valeurs limites d'exposition de la population.» Or les limites actuelles de 41V/m et 61V/m sont létales. Par là même, l'ANSES reconnaît aux différents opérateurs le droit d'émettre à des valeurs mortelles.
Tout le rapport est de la même veine. Alors que de partout les cris d'alarme des personnes électrohypersensibles se font entendre, l'ANSES conclut «tout va bien Madame la marquise».
Nous sommes désolés d'être les «empêcheurs de communiquer sans fil» mais pour nous le doute ne plane plus. Les champs électromagnétiques artificiels sont dangereux pour l'ensemble du vivant et les électrohypersensibles sont là pour tirer la sonnette d'alarme. Nier un problème n'est pas la meilleur façon de le résoudre.
La demande de nouvelles études de la part de l'ANSES ne répond pas à l'urgence de la situation.
Au jour d'aujourd'hui, notre association demande à l'Etat d'apporter une réponse adéquate à la détresse des centaines de personnes électrohypersensibles qui survivent cachées dans des grottes, des caves ou des bois, en créant des «zones blanches». Et cela, bien avant que ne soit compris l'intégralité de tous les mécanismes biologiques de l'électrohypersensibilité.
Contact presse, Philippe Tribaudeau : 04.75.21.35.86 – uneterrepourlesehs@gmail.com